|

Débriefing | Marseille-Cassis 2016

Si vous me suivez sur les réseaux sociaux, vous savez que j’étais au départ des 20km de l’édition 2016 du Marseille-Cassis le 30 Octobre dernier.

C’est l’heure du débriefing et de vous faire un petit compte-rendu de ma course. Oui, on va parler adrénaline et sport! Je suis super content de partager avec vous. Il faut bien l’avouer, j’attendais cette course avec impatience et autant vous dire que j’avais hâte d’y être pour affronter ces belles montées (ça grimpe encore et encore) et pour découvrir un décor idyllique entre la rade de Marseille et la baie de Cassis, à l’occasion de cette 38ème édition du Marseille-Cassis. J’avais beaucoup d’excitation et une envie démesurée de me surpasser.

Le Dimanche matin, j’étais devant le vélodrome et jamais je n’aurais pensé que nous allions être si nombreux devant l’entrée (vérification des dossards oblige). C’était très long. Une fois le dossard vérifié, direction les « SAS de départ ». L’organisation des SAS était très bien gérée, c’était franchement cool ! De plus, comme on peut le constater sur les images souvenirs, le temps était magnifique. À quelques minutes du départ, je me sentais bien et je comptais bien faire honneur au parcours mais je savais que j’allais en baver vu sa difficulté. Mais vous me connaissez ! J’ai un mental de guerrier ;). Au départ, j’ai senti que mes jambes étaient là, mais je me suis franchement demandé si elles allaient tenir les montées qui n’en finissaient pas. Très honnêtement, j’en ai bavé car avec du recul je suis me dis que je suis peut-être parti un peu trop vite avec l’excitation. Les encouragements de la foule et la musique m’ont vraiment boosté. Les ravitaillements m’ont fait un bien fou (il ne faut pas les négliger sur ce genre de parcours). Pendant mon effort, j’ai vu pas mal de monde affichant un regard de souffrance tellement la difficulté était au rendez-vous ! Il est clair que cette course est très éprouvante pour notre corps. Mais je me suis dit que je ne devais pas lâcher ! Je gère les montées, j’accélère un maximum sur les descentes et enfin, j’ai franchi la lignée d’arrivée en 1h52:19 ! Je me suis senti soulagé et c’est avec grand plaisir que j’attrape ma médaille !

 

 

A lire également

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *